Radio
Extraits de ma chronique du 8 Mai :
On nous met la pression sur la vaccination tous azimuts, l’hépatite virale (à ne pas confondre avec les patates viriles), aujourd’hui c’est la méningite, avant c’était le COVID (mais ce n’est pas fini car il reste encore quelques milliards de doses à liquider pour faire plaisir à Ursula). Mais a-t-on prévu une vaccination contre la connerie ? Pourtant j’aime autant vous dire qu’il y en a un paquet !
Par exemple : un comprimé n’est pas toujours un imbécile récompensé alors qu’incompétent n’est pas forcément un pétomane imbécile.
Un concerné peut-il être un idiot en état de siège et un concubin, un abruti vivant à La Havane ?
Considéré : il est tellement con qu’il n’en revient pas lui-même !
En revanche, dès lors qu’il s’agit d’une femme, incongrue est une faute de grand-mère (idem pour Ile et Vilaine…).
Et queue dire de concentrique : peut-il être assimilé à un eunuque (à ce propos je rappelle qu’un combat d’eunuques est toujours un combat sanglant) ?
Con-cu-rrence : adeptes du cunnilingus s’abstenir !
Con-cu-piscent ? Trois en un, extraordinaire ! Mais quel trou choisir ?
Et je vous épargne les explications relatives au vieux complice.
En revanche congénère me laisse perplexe. Georges a dit quand on est con, on est con (il aurait pu écrire quand on nait, n-a-i-t con…). A partir de là je ne vois pas bien ce qu’il peut générer.
Il y aussi les mots à usage très restreint, comme conciliabule (réservé au Vatican), conspuer (réservé aux vestiaires des sportifs, après match) ou encore les conservatoires (encore faut-il y aller…à Thouars !).
C’est la minute blague !
A propos du 1er Mai j’en ai une bien bonne à vous raconter et, malheureusement pour vous, ce n’est pas une blague !
En effet il s’agit tout simplement de « l’affaire Jeanne d’Arc ».
Des historiens sérieux et reconnus ont prouvé que la pucelle en question était en fait la demi-soeur du roi, véritable garçon manqué, qui savait manier l’épée comme un véritable chevalier, avec une solide cotte de mailles pour se protéger.
Cette fausse Jeanne s’est d’ailleurs mariée, après les hostilités.
C’est une condamnée de droit commun qui fut brûlée sur le bûcher de Rouen.
Résultat d’une habile manipulation, étalée sur plusieurs années, dite « opération bergère », mise en place par la belle-mère du roi Charles VII, Yolande d’Aragon, duchesse d’Anjou, qui réussit ainsi à galvaniser les troupes et faire croire que Dieu était aux côtés des français. C’est fort quand même, non ?
Quand on pense qu’aujourd’hui il y a, en France, un parti politique qui a fait de Jeanne d’Arc sa référence patriotique dans laquelle il se drape chaque année au mois de Mai, alors que cette référence est bâtie sur un mensonge historique…
Mais est-ce bien le pen d’en parler ?
Quand on pense, aussi, que les livres que se coltinent nos enfants en école primaire sont bourrés de ce genre d’histoires inventées pour faire plaisir aux rois, c’est dingue, non ?
Allez circulez, y a plus rien à voir !